Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (60)

Satisfait de mon travail ayant gagné honnêtement mon argent avec mes deux clients ayant réussi à avoir des rapports normaux entre hommes et femmes, j’ai réussi grace à ma chatte et mon anus à ce qu’ils enlèvent leurs capotes bien remplies de leur sperme.
Je vois leur queue couverte de nos sécrétions.

• Venez mes hommes, vous avez mérité une petite gâterie en prime, avant de nous quitter car tout à une fin, j’aimerais que nous validions votre certificat de baise avec les femmes ou les deux si parfois vous pouvez trouver deux belles salopes.

Je l’ai mets l’un après l’autre en bouche.
Je les nettoie du mieux que je peux.
Quand je libère Louis, il s’allonge, je reprends ma place au centre du trinôme. Après, la fellation que je lui fais sa bite pénètre dans mon anus sans forcer.
Placé comme je le suis, je vois David venir vers moi et en me donnant un baiser, il me plante sa dague dans la chatte.
Louis prend un de mes seins et David vient mettre sa main par-dessus.
Je les sens glisser en moi avec la même facilité l’un et l’autre et le regard de David me renvoie le bon travail que j’ai fait cette nuit, pour moi c’est gagné, même si être homo n’a rien de dégradant.

Ils sont si efficaces qu’en cinq minutes, je repars.
Ils me pilonnent comme des fous.
Ma chatte est en feu, surtout mon clitoris qui est bien stimulé grâce à la main de Louis qu’il glisse entre moi et David et qui vient amplifier la jouissance qui démarre malgré la fatigue qui me gagne.
Grace à ces deux bites, je défaille, je sens les deux hommes eux aussi prêts à exploser.

• Évitez de décharger, je veux me délecter de votre foutre au fond de ma gorge.

Ils se retirent, s’agenouillent devant moi verge contre verge.
Je les fais entrer tous les deux dans ma bouche les branlant en même temps.
Leurs verges bien calées, je vois leurs yeux se révulser, ils partent.


Une giclée à droite, une à gauche, deux en même temps.
Bref cinq à six fois, ils m’arrosent les amygdales.
Je tombe sur le lit.
Chacun d’eux en fait de même et nous tombons dans les bras de Morphée très rapidement.
Des mouvements, sur mes fesses, me réveillent.
David bouge et se lève en essayant de faire le moins de bruit possible.
Il va vers la salle de bain puis vient reprendre sa place. Je me suis mise sur le dos, il vient poser sa tête dans le creux de mon épaule. Louis ouvre les yeux nous voit et viens prendre la même position dans mon autre bras. Louis joue avec l’anneau de mon collier.

• À quoi sert-il ?
• C’est une longue histoire, nous manquons de temps pour que je vous la raconte, vous louperiez la dernière journée de votre congrès.
La seule chose que je puisse vous dire, c’est qu’il m'a été offert par une amie escorte comme moi et qui officie dans une chambre de l’étage inférieur.
Ce collier rouge avec des rubis possède une laisse de même couleur qui quand elle la place sur l’anneau m’oblige à faire tout ce qu’elle m’ordonne de faire.
Attention, il lui est interdit de m’obliger à faire des choses que je réprouverais.
D’ailleurs, mon amie dont je viens de vous parler, en a un vert avec des émeraudes et dans ma valise je pourrais vous montrer sa laisse verte.
• Va la chercher s’il te plait.

Je me lève et je vais la chercher.

• Et si je te la mets, tu seras à moi le temps que je veux.
• Essaye.

Je le laisse faire et alors qu’il est debout, il va vers la table me tirant derrière lui doucement.
Je me mets à quatre pattes, je saute du lit et je le suis.
Il verse deux coupes de champagne et m’en tend une.

• Trinque avec moi, c’est un ordre.

Je me relève détache la laisse.

• Dommage mal joué, toutes les filles qui travaillent dans cet hôtel cette nuit ont un contrat moral avec notre responsable principale et si l’une d’entre nous et moi maintenant j’avais pris cette coupe et que notre organisation l’avait appris, je perdrais mon statut d’escorte immédiatement.

Vous qui êtes médecins, que pensez-vous si cette nuit j’avais bu plus que de raison, ce qui aurait entraîné la perte de mon libre arbitre, que j’oublie de vous mettre vos capotes et que le SIDA se propage entre nous et nos clients.
Je vais vous faire une confidence, vous étiez deux ce soir ce que je savais en arrivant alors que vous auriez pu réserver auprès de Carl deux filles.
Si vous qui êtes homo ou plutôt bi depuis cette nuit dans nos rencontres de travail entre nous les filles nous aurions sans aucun problème montré notre bisexualité féminine et j’aurais donné du plaisir à l’amie m’accompagnant au risque de lui injecter le virus.
• Bravo pour votre organisation, quand nous avons su que vous viendrez avec tes copines, nous avons évoqué ce problème et je dois reconnaître que votre professionnalisme me rassure.
• Et moi Magalie, je peux mettre la laisse.
• Essaye.

Il descend du lit et la récupère dans la main de son ami.

• Viens.

Je le suis sur le lit.

• Couche-toi et écarte les cuisses.

Je me recroqueville en boule et je détache la laisse.

• Pourquoi la détaches-tu ?
Qu’ai-je fait de mal ?
• Nos colliers et nos laisses vont avec la bonne couleur, me déplacer comme vous me l’avez demandé n’engendrait aucune posture de soumission, mais me coucher et écarter les cuisses, je le fais volontiers, vous l’avez vu dans mon travail, mais sur ordre seul le collier vert peut me le demander.
• Et qui le possède dans cet hôtel, je vais aller le chercher.
• Dieu seul le sait mes amis, bon, il va falloir que je me prépare, mes copines vont m’attendre et c’est moi qui conduis pour les ramener ce qui justifie aussi que je laisse cette coupe sur cette table. Alcootest oblige.
• Tu viens de dire, mes copines, vous étiez combien.
• Là encore je n’en dis rien, c’est du ressort de l’organisation.

Nous nous levons. Rapidement je me douche, m’habile et récupère ma valise.
David et Louis sont restés allongés nus sur le lit.
Je m’approche, pose un baiser sur chaque verge.

• Maintenant que vos verges ont connu une chatte féminine, aimez-vous comme vous vous aimez, mais draguer ensemble des femmes qui vous donneront bien du plaisir.
• Ont te le promet.
Comment pourrions-nous nous revoir ?

Je sors une carte de l’organisation, je leur donne.

• Si vous appelez le site ou le numéro de téléphone, votre demande sera prise en compte, vous demandez Magali, ils nous transmettront votre demande.
• Et ta copine au collier vert, comment s’appelle-t-elle ?
• Tu y reviens, mon anneau est vide de sa laisse, je peux te dire qu’elle se fait appeler Séverine.
Elle est grande avec des cheveux roux presque rouges. Elle est magnifique.
• Se fait appeler Séverine, ce sont des prénoms d’emprunt.
• Non, de travail.
Mes amis, j’y vais, j’ai été très contente de passer ce moment avec vous. À bientôt j’espère.

Je passe la porte fière de la nuit passer et fière de mon travail.
Arrivé à la voiture, mes copines sont là. Carl aussi. Je l’embrasse et le remercie pour les rendez-vous qu’il nous a organisés.
Au moment de monter en voiture je regarde en direction de l’hôtel.

Au deuxième étage, derrières une baie vitrée, deux hommes une serviette autour du corps me regardent partir.
Nous montons et démarrons.
Christine, Fabienne Véronique et Marie-Ange, reprennent le chemin des Vacances à Saint-Palais-sur-Mer.
Chaque fille raconte sa nuit. Marie-Ange nous explique qu’elle est tombée sur un homme qui l’a emmenée manger au restaurant, qui lui a fait dû rendre dedans tout le repas même dans l’ascenseur étant un peu lourd par moments.

• Christine toi qui remontais en même temps que nous tu as dû le constater ?
• Oui, j’ai même pensé, que Fabienne allait ramasser !
• Pour ramasser, j’ai ramassé, quand nous sommes allées dans la chambre, j’ai cru qu’il allait déchirer mes vêtements.

Il m’a jetée sur le lit et quand il m’a rejoint, il m’a planté littéralement son sexe dans le vagin.
Un aller, un retour deux trois fois, il m’a quitté et m’a retournée, il m’a directement enculé et comme part devant, il m’a bien bourré.
Bien sûr, je n’ai, hélas, pas eu le temps d’avoir du plaisir.
Je croyais qu’il allait décharger dans mon anus et non il m’a quitté de nouveau pour me mettre son sexe dans la bouche et éjaculer.
Il s’est écroulé sur le lit, c’est retourné et c’est endormi.
Je suis allé prendre un long bain bien plus long que la saillie qu’il m’a fait subir.
Je me suis couché jusqu'à sept heures du matin où il m’a reproduit à la seconde prête le même numéro qu’hier au soir.
Il s’est rendormi et me voilà.
Deux mille euros pour ça, c’est cher la minute de baisse…

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